Pensée pour les iroquois…
explications pour les zinfins
Ils vivaient dans le Nord de l’Amérique.
Ils habitèrent du côté du lac Huron, de l’État de New York, ou vécurent aussi au Sud du lac Ontario et certaines parties de la vallée du Saint-Laurent.
Les iroquois font partie des peuples amérindiens. Quand les européens arrivèrent au seizième siècle, il y eut des guerres, des massacres…
Les iroquois méritent le respect comme tout le monde…
Mais en Europe, on ne connaissait pas leur vie.
Pour se moquer d’une personne qui semblait bizarre, un peu “voyou”, on disait, “c’est un iroquois”…
On le disait aussi des gens qui parlaient de façon incompréhensible ou même de gens ayant cette coupe de cheveux qui surprend avec une crête bien droite au milieu du crâne…
Donc souvent autrefois on disait aussi d’un enfant pas sage, qui ne respectait pas les règles, un peu sauvage, que c’était “un iroquois”…
Pour le tarmac (j’ai choisi le mot pour la sonorité) c’est une sorte de béton souvent utilisé pour faire les routes, mais c’est aussi la partie des aéroports où roulent les avions.
Une chanson deux versions !
J’ai d’abord écrit le texte, il est en dessous, puis, je me suis amusé à faire deux versions de la chanson, une sage et l’autre…
version 1
version 2
Un Iroquois sur le tarmac Mon goéland aux dents qui claquent Sur le frigo des années folles Où nous allions à notre école Dans le cartable des limaces Des vers pour nouer nos godasses Et de la bave pour nos tignasses Chaque matin, rien ne dépasse ! Mais que je suis donc distrait, en pyjama je suis resté ! Et la maîtresse en bigoudis, va me gronder ! J’ai bien appris ma poésie et la table de huit aussi Huit fois huit huîtres, j’ai tout vomi sur le carrelage de la cuisine J’ai raconté à Nicolas, que j’avais tué un loup là-bas, Chez mon grand-père le notaire, qui vit tout seul au fond des bois, Et j’ai embrassé sur la bouche, Adeline c’est ma mouche ! Les filles, elles ne veulent pas de moi, elles disent que je suis trop cracra La cloche a sonné, c’est fini, je suis libre enfin les amis, Bye-Bye, Ciao et puis aussi arrivederci ! Comme disait mon papa, quand il vivait là autrefois !