Je ne déteste personne en réalité…
Je n’ai pas d’ennemi. Je n’ai jamais su faire avec cette idée. C’est confortable un ennemi. Ça évite de penser. Le risque bien sûr, c’est à tout moment de devoir se réconcilier avec. L’ennemi devient l’ami. Parfois c’est celui de service . On s’y attache d’autant plus. Mon cher ennemi. La détestation se réjouit de …