La semaine du 15 au 21 septembre 2024, il vous a été proposé de découvrir chaque jour un nouveau poème en version texte accompagnée d’une version enregistrée. Je vous propose de retrouver ces enregistrements.
Chaque texte est différent tant par son thème que par le climat voulu pour l’enregistrement. On fera l’hypothèse qu’il faut pouvoir être au calme pour une telle écoute, en position détendue, un casque ou des écouteurs sur la tête.
Le récital
Vous pouvez laisser les six poèmes défiler… mais il est possible d’agir sur le lecteur si l’on souhaite avancer, sauter ou reculer…
Bonne écoute !
Retrouvez les textes
Il est possible de retrouver les textes avec les liens vers les pages concernées.
Note
Ces textes originaux ont été écrits du 15 au 21 septembre avant d’être enregistrés dans la foulée. Les thèmes ne sont pas liés les uns aux autres. Certains ont pu être influencés par exemple par les jours de pleine lune…
Les enregistrements ont été réalisés dans la foulée à l’aide du logiciel libre Audacity. On a parfois mêlé des voix ou joué avec des apports instrumentaux, des rythmes etc. La seule contrainte était d’enregistrer à chaque fois en une seule prise directe, sans interruption de façon à donner à l’interprétation une couleur aussi vivante que possible.
Très probablement un nouvel enregistrement d’un même texte pourrait s’avérer différent.
J’avais pensé que l’activité plaisante pour moi serait en quelque sorte une création libre et anodine : d’une part, j’ai retenu certains textes trop « remuants » mais d’autre part, cette production quotidienne suivie d’enregistrements, s’est avérée singulièrement « mangeuse » d’énergie, certaines séances intenses pouvant être assez fatigantes…
Merci à celles (plus que ceux dirait-on) qui m’ont fait des retours plutôt sympathiques sur le plaisir d’entendre le texte… Je mesure que ce n’est pas évident pour un auteur d’enregistrer et d’interpréter ses propres textes. Tout le monde connaît les enregistrements assez calamiteux de très grands poètes (Apollinaire ou Aragon pour ne citer qu’eux !) . Par chance, je ne suis pas un grand poète !