Les risques du métier

Publié le Catégorisé comme informations
une plante du jardin, je crois appelée bouillon

Je dis les risques du métier, mais ce sont plutôt les risques que prend l’impudent autodidacte. Rien à voir avec le film au passage, juste avec le plantage du site. À trop chercher la perfection, on se casse la figure et dérape vite avec le numérique. Ma sauvegarde était restée bloquée au 13 juillet. J’aurais dû « prendre mes précautions ». Des pages perdues, des liens brisés. Agaçant mais pas grave.

un mur près de la maison

Le numérique c’est fragile

Les risques du métier, on ne les connait pas toujours. Il faut aller décrypter ce qui a coincé, ce qui s’est bloqué un jour dans la base de données…

Mais cet épisode d’accident de site, rappelle quoi ?

  • que c’est pas pour rien que tu dois faire des sauvegardes régulières petit
  • mais que de toutes les façons, le numérique est fragile et périssable et que peut-être dans vingt ans, tous ces sites, ces blogs, ces bases de données, se seront perdus dans les limbes…

Internet n’est peut-être pas si éternel et durable que ça…

Que savons-nous de la durée de conservation réelle d’un fichier numérique, notamment des fichiers images ? Les photos de votre enfant chéri se dissoudront… mais comme en même temps le choc thermique nucléaire aura été terrible, vous risquez pas de vouloir la chercher sa photo…

Poèmes et nouvelles au chaud

Je vous les redonnerai sous une forme ou une autre. Je les écris toujours à part et pour le coup c’est sauvegardé sur l’ordinateur et le serveur qui lui même duplique… et le « meilleur » est engrangé dans le fameux cloud… Ah le nuage !

Lui même hautement périssable et fragile… Une averse, un ouragan et hop…

ma vallée

Mais ce n’est pas bien grave et grâce à la paisible vallée, je suis resté tranquille. L’énervement s’éloigne vite ici !

Retour à la maison

un bouillon

Alors j’en ai profité pour reprendre l’extension en .fr

Vous n’aviez pas bien vu ?

Je l’ai perdue un temps, rachetée…

Autrement dit j’ai repris le nom de domaine vincentbreton.fr et hop ! une petite redirection, et hop un changement d’adresse…

Il fut un temps où le site était bien référencé avec ce .fr qui est finalement cohérent avec le propos tenu ici.

Google va me bouder

Je suis pas certain que Google ne va pas me bouder un peu, cacher ma photo derrière celles de tous les autres Vincent Breton : le général, le comédien, le photographe !

Mais je n’écris pas pour Google, j’écris pour les lectrices et lecteurs qui passent par là, faisant preuve d’un rien de sérendipité… et d’amitié.

Du coup côté SEO ça doit laisser à désirer ? Plus ou moins… En plus des ennuis pour le coup avec une extension… ah ah … Je vous laisse pour voir ce qu’il en est, si je la conserve ou pas… oui c’est des histoires de spécialistes… et je n’en suis définitivement pas un !

Par Vincent Breton

après avoir travaillé dans l'enseignement, je consacre une bonne part de mon temps à l'écriture. Je m''intéresse à l'idée de changer ma vie grâce à la poésie. J'écris un journal, de la fiction, de la poésie et des chansons.

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